Trousse à bactéries
E.coli, staphylocoques... De nombreuses bactéries, plus ou moins dangereuses, se logent dans les trousses à maquillages. Une étude a testé 467 produits et trouvé des agents pathogènes dans 90 % des cas ! Tous les produits sont concernés (rouge à lèvres, mascara, eye-liner…), avec une forte concentration bactérienne dans les éponges à fond de teint. La solution : laver régulièrement les éponges et bien les sécher, désinfecter les applicateurs, et jeter les produits périmés.
49 %
C’est le taux de surpoids parmi les adultes français (17 % sont obèses). Pour lutte contre ce fléau, le rapport de la Cour des Comptes estime que l’on peut mieux faire ! Ses pistes d’amélioration : obliger les industriels à adopter l’étiquetage nutritionnel, surtaxer les produits très gras et sucrés, interdire les publicités ciblant les enfants, et accompagner les patients sur le plan psychologique.
Mois sans alcool mais avec des soutiens
L’Etat se défile ? Qu’à cela ne tienne ! Une trentaine d’associations animeront cette campagne qui vise à évaluer sa consommation d’alcool en fonction de son mode de vie et, éventuellement, à la réduire ou à faire une pause. Parmi elles : la Fédération Addiction, La Ligue Contre le Cancer, AIDES…. Le site de Dry January est déjà en ligne. On peut s’inscrire et rejoindre la communauté, recevoir des conseils pour trouver des alternatives à la boisson, connaître les lieux partenaires. Alors, prêt·e pour un Janvier sans alcool ?
Papillomavirus : les garçons aussi !
La vaccination contre les papillomavirus sera étendue aux garçons (11-14 ans). La ministre de la Santé l'a annoncé, après les avis favorables des instances sanitaires. Actuellement, le vaccin est recommandé aux jeunes filles afin de réduire le risque de transmission de ces virus, responsables du cancer du col de l'utérus mais aussi de la bouche, du pharynx et de la gorge. Mais pour être réellement efficace, la vaccination doit aussi concerner les garçons car ils sont porteurs du virus et peuvent le transmettre à leur partenaire. Ce sera chose faite, dès 2020.
Quand t’as plus d’argent pour te soigner…
Aux Etats-Unis, de plus en plus de patients se tournent vers les médicaments à usage vétérinaire, selon une étude qui pointe un recours accru aux antibiotiques pour… poissons. Moins chers et sans ordonnance, ces médicaments permettent à des personnes dépourvues d’assurance maladie de se soigner, mais ils comportent de nombreux risques. Outre-Atlantique, 27 millions de personnes n’ont pas accès aux soins, faute de couverture maladie.