Animaux - Confinement - Maladies rares - Stress
24 mars 2020

Animaux - Confinement - Maladies rares - Stress

Animaux : vaccination ajournée !

Les vétérinaires ont fermé leur cabinet mais répondent aux urgences. Il faudra donc patienter jusqu'à la fin du confinement pour les autres actes, notamment la vaccination. En cas de retard, veillez donc à protéger davantage vos animaux pour éviter tout risque d'infection, notamment par les parvovirus. Essayez de garder les chats à l'intérieur. Pour les chiens, écourtez les balades, éloignez-les des autres animaux et de leurs défécations, et privilégiez la marche sur le béton ou le goudron, en évitant l'herbe et la terre.

1,7 milliard

de personnes vivent confinées, selon un décompte de l'AFP. De Paris à New York, ce sont au total plus de 35 pays qui ont mis en place un confinement obligatoire, recommandé et/ou des couvre-feux. Alors que le coronavirus gagne du terrain, l'isolement de chacun apparaît en effet comme la seule arme véritablement efficace. L'exemple chinois, en particulier dans la ville de Wuhan, qui ne compte plus aucune contamination depuis quelques jours nous le prouve.

Un champignon courant contre des maladies rares

Et si un banal champignon comestible pouvait changer la vie de millions de patients atteints de maladies génétiques rares. C'est l'espoir soulevé par une équipe de chercheurs français, qui met en lumière les propriétés étonnantes d'un des principes actifs du Lepista inversa. Il permettrait en effet de corriger certaines mutations génétiques. Des essais concluants ont été menés sur des lignées cellulaires humaines, et des modèles animaux. Les chercheurs espèrent désormais développer des traitements.

Se ronger les sangs sans s'affaiblir

Le stress affaiblit notre organisme face aux agressions extérieures. Le phénomène est connu, mais pour la première fois, une étude française vient l'expliquer, avec l'identification sur les cellules immunitaires, qui nous protègent, de récepteurs aux hormones du stress. En inhibant leur action sur des souris, ces dernières supportaient alors beaucoup mieux les infections. Une nouvelle piste thérapeutique pour l'homme, afin de lever les freins immunitaires provoqués par l'état de stress dans un contexte de maladie.